Myth of Legend
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Wouf!

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« Claus »
Claus
Cerbère

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Age : 31
Localisation : Quelque part. Si je ne te le dis pas, c'est que je n'ai pas envie que tu vienne.

Feuille d'identité
Age: 21 ans.
Humeur: Très fréquemment mauvaise.
Equipement:
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MessageSujet: Wouf! Wouf! Icon_minitimeJeu 14 Avr - 22:19

Nom:

Inconnu

Prénom:

Claus (Tout du moins, c’est comme ça qu’il se fait appeler)

Age:

Inconnu. Il est physiquement âgé de 21 ans, et déclare avoir cet âge quand on lui pose la question.

Race:

Cerbère.

Ville natale:

Inconnu également. Toutefois il est capable de survivre aux températures de Trimogal, ce qui laisse à supposer que c’est de là qu’il vient.
Arme:

Bolverk. Il s’agit d’un pistolet (une arme perfectionnée pour cette époque donc) avec lequel Claus s’est ‘réveillé’ et qu’il ne quitte plus depuis car il s’agit du seul lien matériel avec son passé. Cette arme n’as rien de particulier, à part qu’elle peut condenser la puissance de Cerbère dans ses balles et que Claus sait s’en servir avec une très bonne maîtrise. Toutefois il n’utilise Bolverk qu’en cas d’absolue nécessité, et préfère généralement déchiqueter sa proie avec ses griffes et ses crocs, la puissance de Cerbère étant cette d’un Titan elle est plus que suffisante pour la plupart des adversaires.

Pour l’image de Bolverk, Claus le tiens sur son avatar.


Profession:

Claus n’a pas de profession à proprement parler. Il erre de ville en ville, en survivant grâce à la chasse sauvage et aux divers vols qu’il lui arrive de commettre. Il est donc un vagabond hors-la-loi, même si il lui arrive de rendre service au gens. Qu’on le paie ou pas n’est pas vraiment une obligation dans ses cas là, on ne peut donc pas vraiment le considérer comme un mercenaire.

Caractère:

Claus n’est pas quelqu’un avec un caractère facile. Disons qu’il n’est ni facile à cerner, ni facile à approcher, ni facile à apprécier. Pour faire simple, on peut dire que Claus est un jeune garçon froid, distant, solitaire. Il préfère rester reclus dans son coin plutôt que de tenter de s’ouvrir au monde, car il considère ce dernier comme une sorte de prédateur géant voulant attenter à sa vie. Ne vous méprenez pas, le jeune homme est bien plus que courageux, téméraire et parfois même imprudent. Simplement, il considère que le monde entier est son ennemi. Un animal sauvage lâché en pleine nature, voilà sa vision de sa propre existence. Autant dire qu’il n’est que rarement très enclin à la conversation. Si vous vous approchez de lui avec des intentions amicales, il sera capable de le sentir toutefois, probablement grâce à ses sens canins très développés. Capable de comprendre la plupart des langages, il peut parfaitement parler et possède un vocabulaire plutôt riche contrairement à ce que ce qui est dit plus haut peut laisser entendre. Ne vous attendez toutefois pas à avoir une grande partie de causette avec lui, il est loin d’être un garçon bavard. Tout au plus réponds t-il la plupart du temps quand on lui pose une question, du reste il préfère communiquer ses émotions par des grognements, des onomatopées ou des expressions de visage. Même si son visage est assez souvent synonyme même de l’adjectif ‘renfermé et distant’ il arrive qu’il puisse changer d’expression en fonction de la situation, car il est parfaitement capable d’éprouver de réels sentiments. Simplement, il se considère comme un animal, une sorte de bête qui n’a nulle part où aller et donc personne à qui réellement se fier. Même si ses sens lui permettent de jauger en qui il peut avoir vraiment confiance, Claus n’accorderas jamais pleinement sa confiance à qui que ce soit. Tout simplement parce qu’il a peur d’être trahi, peur d’être enfermé et peur d’être persécuté. Pour ce qui est de ses peurs justement, mis à part qu’il n’aime pas du tout être trop entouré de gens, on peut citer le fait qu’il méprise l’idée même de l’enfermement. Libre et indépendant dans l’âme, il aime beaucoup se promener dans la nature, aller un peu partout là où le vent le conduit, là où la terre guide ses pas, là où la mer l’empêche d’aller plus loin. Rester enfermé et emprisonné lui fait horreur, il déchiquètera quiconque tente de lui imposer ce châtiment. Pour continuer dans sa description mentale, il est bon de préciser que Claus n’a aucun souvenir de son lointain passé, ni même d’une mémoire générale quelconque. Il s’est réveillé il y’a peu de temps, et n’avait à ce moment là aucun souvenir. Obligé de se débrouiller seul depuis, il vit comme il peut, apprenant comme il peut. Il ne sait donc pas beaucoup de choses sur le monde, certaines connaissances de base lui paraissent complètement impossible à appréhender. Néanmoins, malgré cet attardement dût à son amnésie, il porte un pistolet, une arme de haute fabrication dans un monde aussi médiéval ce qui suscite généralement l’incompréhension, et sait parfaitement s’en servir, voire même en expliquer le fonctionnement. Il n’est donc pas stupide, même plutôt intelligent, simplement il n’a que peu de culture. Ce qu’il n’a pas en culture, il l’a compensé en instinct de survie. Difficile de trouver quelqu’un de plus apte à survivre en pleine nature, vu que c’est là qu’il passe tout son temps. Il n’aime pas la ville, n’y va que pour y voler des provisions et quelques fois pour changer de décors. Enfin pour conclure, on peut souligner le fait qu’il lui arrive d’être particulièrement bestial et hargneux si jamais on vient à trop l’énerver. Derrière ce masque froid et indifférent se cache une bête féroce et enragée, qui n’a qu’une simple chaîne pour la retenir…


Physique:

Claus est, de prime abord, quelqu’un qui n’est pas laid. Son physique n’a rien de disgracieux, il serait plutôt bel homme si jamais il avait un quelconque standard de beauté gravé en lui. Il ne sait donc pas si il est beau ou pas, vu que la beauté ne lui est d’aucune utilité dans sa vie jusqu’ici. Toutefois, dire qu’il ne l’est pas serait mentir, même si il pourrait parfaitement vous croire pour le coup. Pour commencer, il convient de décrire son visage. Fin et assez gracieux, la face de Claus évoque toutefois un animal canin lorsqu’on s’y intéresse d’assez prêt. En effet, on peut constater qu’il a vaguement la forme d’une tête de loup au niveau de son visage en globalité. Il l’a lui-même bien compris d’ailleurs, et il accentue souvent cet attribut afin d’effrayer ce qu’il peut considérer comme un ennemi. Un visage assez fin aux allures de noble animal, donc. Concernant son nez, il n’as rien de très particulier en revanche. Si ce n’est un odorat bien plus développé que les humains, de part le fait qu’il possède les gênes de Cerbère, son excroissance nasale n’a rien de plus ou de moins qu’un nez normal. Si on s’attarde un peu plus sur la zone entourant le nez de Claus, et donc le visage dans sa globalité, on peut dénoter que Claus, malgré sa vie sauvage et en pleine nature, n’a absolument aucune imperfection sur son visage. Est-ce une sorte de miracle, ou plutôt est-ce parce que ses cicatrices qu’il peut lui arriver d’avoir sont capables de se régénérer à haute vitesse ? Il n’en sait rien, toujours est-il qu’il ne dénote rien de très spécial à son visage à part cette étrange faculté de ne jamais avoir la moindre marque malgré une vie relativement… Marquante. Concernant sa bouche, elle n’a en soit rien de très particulier tant qu’on l’aperçoit de loin. Si il l’ouvre en revanche, on se rends compte que ses dents sont bien plus aiguisées que la totalité des habitants de ce monde, ses dents tiennent plus de crocs de chien que de dents humaines. Rien d’étonnant à cela encore une fois, quand on sait de qui il tient. Qui plus est, ses crocs peuvent s’allonger et se rétracter lorsqu’il éprouve de la colère, comme si la transformation en Cerberus passait par un stade précaire à celui de la transformation complète. Ce qui est sûrement le cas, car parfois Claus ressent une puissance titanesque l’envahir sans pour autant revêtir une apparence monstrueuse. Il a été signalé plus haut que le visage de Claus ne porte aucune trace d’imperfection, cela est vrai mais il existe une seule petite exception. Une cicatrice présente sur sa joue droite, juste en dessous de l’œil du même coté. Il ignore d’où elle lui vient et pourquoi il s’agit de la seule blessure qui semble s’accrocher énormément à son visage. Il ne s’en préoccupe pas réellement de toutes manières, cette cicatrice n’est rien de plus qu’un petit contretemps qui ne le gêne absolument pas dans sa vie à l’état sauvage. Concernant ses yeux, Claus a des yeux d’une couleur très peu commune : ils sont violets. Des yeux violets, et en même temps dotés d’une pupille bien plus fine que celle des humains. Un croisement entre un regard humain très rare, de par la couleur, et un regard canin d’autant plus rare, de part la forme des yeux du jeune garçon. Ses yeux ne sont pas très grands, ils sont même fins et assez enfoncés sur son visage, lui donnant vaguement un air asiatique. Au dessus de sa tête, il y’a sa coupe de cheveux qui se trouve la plupart du temps masquée par un chapeau qu’il revêt afin de se protéger du froid, car la température n’est pas toujours optimale lorsqu’on vit dans la nature. Enfin, pour finir, il convient de décrire son corps en général, et plus précisément les capacités de ce dernier. Claus possède un corps athlétique. Puissant, agile, vif et doté de reflexes largement supérieurs à ceux d’un humain normal, il a aussi un instinct hors du commun qui lui vient de ses sens hyper développés. Il possède un corps de prédateur, sculpté par sa vie sauvage, son don génétiquement transmis par le Titan de la Terre, mais également par ses nombreux affrontements contre diverses créatures, parfois animales parfois humaines et parfois autres, afin d’assurer sa propre survie. Musclé donc, sans un seul gramme de graisse malgré une alimentation tout sauf saine, vu qu’il ne mange que très rarement avec des couverts. Au niveau de son hygiène en revanche, c’est assez surprenant de voir qu’il est rigoureux et se lave dès qu’il en a l’occasion. Relativement fort physiquement, très rapide il peut également faire pousser ses griffes et ses crocs à une taille plus grande pour se battre au corps à corps. C’est ce qu’il fait la plupart du temps quand il ne souhaite pas utiliser Bolverk. Un dernier détail à préciser, étant utilisateur d’une arme à feu de courte portée, Claus possède une vision quasiment parfaite. Voire parfaite, en fait.

Histoire:

STRAY

Quel était cet endroit ? Où est ce qu’il se trouvait ? Pourquoi est-ce qu’il y’avait des corps entassés autour de lui ? Des corps humains, déchiquetés, ensanglantés. Comme si ils venaient de se battre contre un monstre horrible. Ou contre les monstres qui s’étaient entassés de l’autre coté. L’autre coté de cet endroit, là où les cadavres de bêtes étaient légion, chacun portant une arme humaine plantée dans leur cœur ou dans une partie vitale de leur corps. Quel était cet endroit ? Pourquoi la mort était-elle présente toute autour de lui ? Pourquoi est-ce qu’il faisait si froid ? Pourquoi est-ce que tout cela était réel, et non pas un rêve comme il l’avait si souvent espéré ?

In the cold breeze, where I walk along

Le jeune garçon s’était relevé après s’être posé toutes ces interrogations concernant la situation. Il ne savait pas, il ne comprenait pas. Il ne comprenait même pas ce qu’il se passait, il savait juste qu’autour de lui, il y’avait la mort et la désolation. Rien, rien du tout, juste des pierres et des ruines à perte de vue. Et ce froid mordant qui lui glaçait sa peau nue. Il était un garçon, cela était certain. Il ne savait pas pourquoi il le savait, mais il savait qu’il était de ce genre qu’on appelle souvent les « mâles ». La présence d’un pénis au milieu de son corps le lui confirma rapidement. Il savait que cet attribut n’était fourni qu’aux représentants de la gente masculine. Il savait aussi que cette partie de son corps était extrêmement sensible, ce qui expliquait peut être pourquoi c’était à cet endroit qu’il avait le plus froid. De la neige tombait doucement du ciel, les flocons blancs qui touchaient sa peau le faisaient de nouveau frissonner. Il remarqua rapidement que les humains tués portaient quelque chose pour protéger leur peau. Des vêtements. Il savait que cela s’appelait comme ça. Il savait comment on nommait ces choses, mais n’avait pas le souvenir d’en avoir un jour porté. Le garçon, nu comme un ver dépouilla rapidement les cadavres autour de lui, sans le moindre état d’âme. Survivre, pour l’instant se protéger du froid c’était tout ce qui comptait. Se protéger, encore et encore. Un pantalon, d’abord. Des sous vêtements, oui. Cela pouvait servir aussi. Puis le pantalon. Puis le haut. Puis une cape, pour se protéger encore plus efficacement du froid. Il avait encore froid. Aux pieds, et sur le haut de son crâne. En quelques secondes, il arracha les vêtements d’un autre corps placé autour de lui, et se confectionna de manière rudimentaire un couvre chef qui pourrait lui réchauffer sa tête congelée. Puis il enfila des chaussures noires. Qui étaient trop petites. Elles ne résistèrent pas à sa force de pression quand il tenta de les enfiler pour ne plus avoir froid. Il avait froid, ses pieds avaient besoin d’une protection. Il enfila plusieurs chaussures jusqu'à trouver enfin une pointure qui lui allait correctement. Il avait encore froid, mais bien moins que lorsqu’il était nu. Ses vêtements, comme tout ceux des cadavres aux alentours, étaient d’une couleur totalement noire, sans lumière. Gris clair. La couleur d’un désespoir. La même couleur que sa mémoire. Il resta quelques instants, à profiter de la douce chaleur qui se diffusait dans son corps pour le moment. Il profita, quelques courts instants. Puis son cerveau se remit à fonctionner. Et la question se formula d’elle-même dans son esprit jusque là quasiment inactif au profit de son instinct de protection contre le froid. « Qui suis-je ? Où suis-je ? » Deux questions auxquelles il était totalement incapable de répondre.

I'm here standing at the edge,
Starin up at where the moon should be


Impossible de répondre. Il ne savait pas. Il se tenait là, sur le plus haut pilier qu’il avait put escalader dans ces ruines autour de lui. Et fixait le ciel. La lune. Elle n’était pas là. Il savait qu’elle aurait dût y être. Il la connaissait bien. Elle lui était familière. Pourtant, elle n’était pas là. Le ciel était d’un bleu ciel bardé de nuages. La lune n’était pas là. Il n’y avait pas la seule amie dont il disposait, la seule chose qui lui était encore vaguement familière. Il fixait le ciel, sans comprendre, sans savoir ce qui lui arrivait, sans avoir la moindre idée de son identité. La lune n’était pas là. Il pleura de l’absence de son amie. Passa quelques heures ainsi, sur son perchoir, à pleurer l’absence du seul lien qui brillait dans sa mémoire. L’astre au front d’argent qui était l’unique image éclairant les ténèbres de sa mémoire. Il ne savait pas. Pleura. Puis redescendit. Si elle n’était pas là, il irait la chercher. Il devait la retrouver. Il revint au champ de cadavres, sans comprendre pourquoi la mort était encore autour de lui. Il ne savait pas quoi faire de tout ce tas de chair. Peut être que cela pouvait faire de la bonne nourriture, c’était là la seule utilité qu’il voyait à cet amas de corps qui commençaient à pourrir dans le froid mordant. La neige avait cessé de tomber pour recouvrir le sol d’un superbe tapis blanc. Une bosse était présente, un peu à l’écart des autres, au centre même de l’amas de monstres. Sans savoir pourquoi, sur le coup d’un simple instinct parce qu’il sentait qu’il devait le faire, le jeune garçon qui ne connaissait rien de son nom ou de son passé se rendit à cet endroit. Une bosse. Une main dépassait de là. Un cadavre était là-dessous. Un cadavre humain, au milieu des monstres. Il ne pensa pas. Il n’avait pas envie de tirer la moindre conclusion, juste d’extraire ce corps. Ce qu’il fit. Regardant le cadavre qui était déjà en bien sale état. Il portait des lettres de métal autour de son coup. Elles n’étaient visiblement plus dans le bon ordre. Et dans sa main droite, que le garçon venait de sortir de sous la neige, il y’avait une arme. Une arme… A feu. Le garçon savait ce que c’était. Plus ou moins en tout cas. Cela lui disait quelque chose, sans trop qu’il ne sache pourquoi. Peut être que prendre cette arme allait l’aider à comprendre, l’aider à savoir ce qu’il pourrait devenir plus tard. Il attrapa l’arme. Il la regarda dans ses doigts. Elle rentrait parfaitement dans sa main, comme si cette dernière avait été faite pour manier ce pistolet. Ou comme si ce pistolet avait été fait pour être manié par cette main. Bolverk. Un nom. Un nom qui lui revint à l’esprit après avoir constaté sa présence en gravure platine sur le flanc gauche de l’arme. Bolverk. C’était le nom de cette arme, il en était persuadé. Un nom. Même cette arme avait un nom. Cet endroit avait un nom. Mais pas lui, lui ce garçon qui venait de se reveiller dans ce froid glacial n’avait pas de nom. Son attention se reporta sur les lettres de métal qui figuraient autour du cou du cadavre qu’il venait de dégager. Des lettres de métal, comme une sorte de pendentif avec lequel il voudrait se nommer. Ce pendentif avait été brisé. Les lettres étaient éparpillée un peu autour de lui. Un U. Un A. Un S. Un L. Et un C. C’était son nom à ce soldat. Son nom devait s’écrire avec ces lettres. Sans savoir pourquoi, le garçon reconstitua ce qui devait être le nom de cet homme mort au milieu des monstres et enterré sous la neige en se basant sur les fragments correspondants entre eux. Alors il s’appelait ainsi, hein. C’était son nom à lui, le garçon ne pouvait pas le prendre. Il donna un coup dans le nom forgé en métal qu’il venait de reconstruire, éparpillant une nouvelle fois les lettres. Un C. Un L. Un A. Un U. Et un S. C.L.A.U.S. Claus.

Been forever since I cried the pain and sorrow
I live and die, proud of my people gaining


Cela faisait plusieurs mois qu’il marchait dans cette brise qui commençait à se réchauffer maintenant. Il avait pleuré tellement sur ce pilier dans les ruines que les larmes semblaient maintenant ne plus pouvoir couler sur ses joues. Bolverk soigneusement rangé à sa ceinture, dans un étui qu’il avait fini par trouver sur un des corps des humains. Puis il avait vidé un sac qui ne contenait que des armes, des épées et des cartes, pour le remplir avec des morceaux de monstre soigneusement découpés grâce aux épées précédentes. Il avait placé ce sac sur son dos. Et marchait, sans pleurer, sans mourir ni vivre. Juste en tentant de savoir où il devait aller. Marcher droit devant lui semblait la seule alternative possible. Claus. Claus marche encore, se disait-il. Tu dois continuer, encore droit devant. Marcher, encore et encore, penser à cet amas de cadavres dont il ne connaissait même pas la raison de la présence à cet endroit. Il ne connaissait même pas cet endroit non plus, d’ailleurs. Où était-il ? Pourquoi marchait-il ? Pourquoi ce revolver lui semblait aussi familier ? Bolverk. Le seul lien matériel avec son passé. Il marchait, encore et encore. Des mois. Pour finir par sortir de cette saison froide où le ciel était caché par les nuages blancs. Ou la lune n’apparaissait pas la nuit, car elle était dissimulée derrière des nuages noirs. Maintenant il pouvait la voir. La lune. Elle était sa seule amie, la seule qui pouvait lui dire exactement quoi faire. Il avait juré l’entendre lui dire de vivre. De survivre. De continuer à se battre. Des animaux l’avaient attaqué alors qu’il marchait où qu’il mangeait les restes des cadavres de son sac. Des animaux, des créatures, qui lui fournissaient d’autant plus de nourriture à manger. Il avait eu une facilité déconcertante à se débarrasser de ces animaux. De ces monstres. Des griffes qui lui étaient notamment poussées sur ses doigts, ses dents qui devenaient plus tranchantes, plus acérées. Il marchait encore. Pour finalement arriver dans une clairière, avec un lac. Immédiatement et sans savoir pourquoi, il plongea dedans. Se laver. Se sentir propre. C’était important pour lui. Il lava ses vêtements, son corps grâce à l’eau et aux fleurs de senteur diverses autour de lui. Le parfum de ces fleurs l’avertissait sur les possibles toxines de ces dernières. Il était capable de sentir mieux que personne, d’entendre mieux que personne. Après sa toilette, il but enfin de l’eau pure dans les eaux de ce lac pour retrouver des forces. Puis il fixa le reflet dans l’eau. Un garçon. Des cheveux platines, un regard violet, un visage fin. Des vêtements noirs. Ca, c’était lui. Ce visage, malgré tout, malgré le fait que ce soit le sien c’était le visage d’un inconnu. Il ne connaissait pas cet homme. Qui était-il ? D’où venait-il au juste ? Pourquoi est ce qu’il avait ces pouvoirs de prédateur ? Il ne savait pas. Il jeta une pierre dans l’eau sur l’endroit qui lui reflétait ce visage inconnu, qui portait une cicatrice de provenance tout aussi inconnue. Qui était-il ? Claus. Il était Claus, et tenait bien à découvrir d’où il venait. Tenait bien à découvrir son foyer.

Is there a place left there for me
Somewhere that I belong
Or will I always live this way... ?
Always stray


Marcher, encore et encore. Cela faisait des mois. Peut être des années qu’il vivait de cette manière, à constamment marcher pour trouver sa place. Se laver dans les eaux pures qu’il rencontrait. Il était entré dans une ville. Plus d’une fois. On l’avait souvent regardé comme on regarde un animal sortir de sa cage. Avec méfiance. On se méfiait de lui, il se méfiait des autres. Il n’avait personne à qui faire confiance, excepté Bolverk. Il marchait encore dans les rues de cette ville. Voyant parfois de la nourriture sur les étals. Il la dérobait, partait ensuite en courant pour ne pas avoir à tuer le propriétaire de cette viande. C’était comme ça qu’il vivait. La loi de la nature, la survie du plus fort, le plus rusé capable de voler la nourriture pouvait également se faire sa place. Il mangeait aussi. De la viande, c’était délicieux. De la bonne viande. Elle était chaude. Il l’avait dérobée sur ce qui semblait être des braises pour faire ‘cuire’ la viande comme disant cet homme qui semblait attendre quelque chose en retour de cette pièce de nourriture. Claus avait vu les gens lui donner des sortes de petits ronds carrés. Des choses brillantes, attirantes comme la lune. Il n’avait pas voulut s’en emparer, ne savait pas non plus ce que c’était. Mais n’avait pas l’intention d’échanger quoi que ce soit avec qui que ce soit. Il avait faim, besoin de manger. Dans ces cas là, on vole, tout simplement. Il n’avait pas conscience de son vol. Il n’aura probablement jamais conscience de cela d’ailleurs, étant donné qu’il continue de vivre dans la nature. Claus mangeait la viande volée. Cuire la viande. La faire attendre sur du feu pour la rendre meilleure, plus facile à manger. Il ferait ça désormais. Coupant la chair de ses proies de chasse avec ses crocs et ses griffes, il séparait une pièce de viande qu’il enfilait sur une baguette taillée, puis la plaçait au dessus du feu qu’il avait allumé pour se réchauffer encore un peu. La faisant cuire sur le feu et non pas dans les flammes. Pour la rendre encore bien meilleure. C’était ainsi qu’il apprit la vie, qu’il commença son existence de vagabond. Il avait vécu ainsi tout ce temps, il continuerait. Apprenant, analysant, comprenant diverses choses. Sans savoir où aller, sans savoir où il était ni qui il était, il apprenait la survie de ce monde qui, comme tout les mondes, possédait un coté sombre et sauvage. Un coté dans lequel on l’avait placé, et forcé à vivre. Il y vivait. Sans se retourner. De toutes manières, il n’avait rien à perdre. Tout ce qu’il pouvait faire, le seul but de sa vie, c’était de marcher et de vivre comme il l’entendait. Parce qu’il n’avait rien à perdre. Il n’avait pas de mémoires, pas de passé, rien aucune identité. Tout ce qu’il aimait, c’était simplement vivre. Il allait vivre ainsi maintenant.

Stray!
No regrets 'cause I got nothin to lose
Ever stray!
So I'm gonna live my life as I choose
Until I fall..


Les années avaient encore passées. Maintenant il n’était plus un garçon, c’était un homme. Ses vêtements étaient devenus un peu courts par rapport à leur énorme amplitude de son adolescence. Mais il les portait toujours, il lui semblait avoir grandi dedans, ce qui n’était pas vraiment faux d’ailleurs. Il marchait encore. Il était arrivé dans un endroit étrange. Il faisait chaud maintenant. Tout du moins c’est ce qu’il songea jusqu'à ce qu’il retire sa cape pour la ranger, aux cotés de son bonnet. Maintenant, il faisait bon. Pourtant, il voyait de nombreuses personnes partir d’ici en sueur, comme si ils avaient extrêmement chaud de leur coté. Il devait faire chaud à cet endroit. Pourquoi lui ne sentait-il plus la chaleur ? Mieux encore, pourquoi ce froid qui semblait le poursuivre depuis son éveil se dissipait à présent sans ses vêtements ? L’endroit était chaud. Claus ne savait pas ce que c’était que cette ville. Il n’y était jamais venu, et pourtant elle avait quelque chose de familier. Cette chaleur, cette disposition des bâtiments, ces habitants qui semblaient avoir aussi chaud que lui dans le coin, c'est-à-dire pas du tout… Il ne savait pas pourquoi cette ville lui était autant familière. Trimogal. C’était comme ça que les habitants nommaient cette place. Trimogal… Claus savait que ce nom lui disait quelque chose. Cela semblait lui faire remonter des souvenirs. Puis il fit face au monument de la ville le plus célèbre. La statue de Cerbère. Il faisait encore meilleur ici, la température lui semblait tellement parfaite qu’il laissa un sourire se dessiner sur ses lèvres alors qu’il contemplait la statue du chien Tricéphale. C’était lui, Trimogal. Un chien sauvage qui gardait une porte infernale. Un chien sauvage à qui on avait attaché un collier pour l’empêcher de s’enfuir. Est-ce que si il n’avait plus eu son collier d’acier magique, il aurait put s’enfuir ? Est-ce que si on lui avait retiré son collier, il aurait mené une vie de chien errant, comme lui-même l’avait fait ? Plus Claus regardait la statue du Chien démoniaque, plus il fronçait les sourcils sans comprendre pourquoi ce genre de questions lui venaient à l’esprit. Il fut tiré de ses rêveries par un Monstre qui s’en prit soudainement à la ville, probablement dans le but de survivre lui aussi. Un Minotaure. Il n’était pas seul. Il y’avait d’autres créatures avec lui, des monstres qui pillaient, tuaient les villageois, massacraient ce qu’il y’avait autour d’eux. Un carnage qui se déroulait sous les yeux de la statue du gardien des enfers. Claus sentit un sentiment de colère l’envahir. Un esprit bestial prendre possession de lui. Cette ville, il s’y sentait bien. Il faisait bon ici, les habitants le traitaient comme un animal, certes, mais comme un animal dont on pouvait s’approcher pour parler. Il aimait cette ville, il allait la défendre. Il se transforma. La réplique exacte de la statue derrière lui, Cerbère le chien des enfers se rendit au milieu du groupe de monstres, qu’il décima à coups de dents, à coups de griffes grâce à ses trois têtes et à ses pouvoirs de gardien des enfers. Les flammes infernales. Les glaces du pays des morts. Les morsures démoniaques de la porte des enfers. Les griffures mortelles qui conduisaient les âmes pures au jugement dernier, et les âmes perverties parmi les damnées. Un carnage de monstres, la fourrure du Cerbère se trouvait tâchée de sang après cela. Puis le carnage cessa. Claus reprit sa forme humaine. Pas étonné. Il s’était déjà transformé. Mais c’était la première fois que cela atteignait des proportions aussi destructrices. Le quartier avait subit d’importants dommages du pillage des monstres, et les cadavres des criminels s’entassaient au pied de la statue de Cerbère, comme pour prouver que personne ne pourrait passer la porte. Si on s’y essayait, on marquerait le prochain corps dans la pile. Essuyant le sang de Minotaure qu’il avait sur le visage, Claus partit de cette ville, bien décidé à se servir de ce pouvoir, de ses nouveaux acquis, afin de trouver sa véritable place, l’endroit où il se sentirait enfin chez lui. Il avait trouvé Trimogal, savait que là bas était un foyer pour lui, tout du moins un foyer de remplacement. Mais ignorait encore qui il était, son visage était toujours celui d’un inconnu. Il marchait de nouveau. Quitta la ville à la bonne température pour remettre ses vêtements afin de se protéger du froid. Se fit attaquer par des animaux. Encore. Il les pulvérisa, sans le moindre effort. Bolverk semblait lui aussi avoir compris que Cerbère était un membre de leur héritage génétique. Qu’ils étaient désormais une créature faisant plus office de chasseur que de proie.

No regrets 'cause I got nothin to lose
Ever stray!
So I'm gonna live my life as I choose
Cause all things fall


Marcher, encore et toujours, à la recherche de son identité. Cela faisait six mois qu’il savait qu’il était le Cerbère. Qu’il était un de ces ‘titans’ dont parlait parfois les passants qu’il croisait les rares fois où il se rendait en ville. Qu’il se battait non plus contre de simples animaux, mais contre des groupes de monstres cherchant à lui dérober son argent. Des bandits, des hors la loi, des criminels. Parfois des gens à sa recherche, pour il ne savait trop quelle raison. Il gagnait, chaque fois. Perfectionnait sa forme Cerbère, son style de combat, son aptitude au tir avec Bolverk. Il tirait la glace des morts, le feu infernal. Il rugissait, tel un chien sauvage et enragé, prêt à mordre son opposant. Chien Tricéphale doté de plusieurs pouvoirs du Titan de la Terre. Brise ses chaînes pour retrouver son véritable passé. Le sang du Cerbère qui coulait dans les veines du chien errant et solitaire. Autrefois une proie à la merci d’un passé nébuleux, inexistant. A la merci d’un monde sauvage qui ne lui laisserait pas un instant de répit. Aujourd’hui un prédateur, un loup féroce qui déchiquetait tout sur son passage, et dont la proie était ce fameux passé dont il ne connaissait toujours rien. Bolverk à sa ceinture, Claus continue de marcher. Jusqu’à sa chute, il marchera pour se retrouver, pour apprendre l’identité du visage qu’il voit lorsqu’il se regarde dans le reflet des lacs purs. Il vivait comme il l’entendait, cherchait à savoir qui il était, libre de tout sans rien à perdre. Tout tombait autour de lui. Lui, il ne tombait plus. Il ne tomberait pas. Il retrouverait son passé. Peu importait si autour de lui, tout s’effondrait.


Image(s) forme humaine :

http://3.bp.blogspot.com/_1e3roLwceoA/TD7el1rTwDI/AAAAAAAAAJE/xeQMqc8NqIo/s1600/Noir.png

Image(s) forme monstre :


https://nsa26.casimages.com/img/2011/04/14/110414102925317651.jpg

https://nsa26.casimages.com/img/2011/04/14/110414102723192713.gif

https://nsa26.casimages.com/img/2011/04/14/110414103243882559.jpg



HRPG:

Avez-vous un prénom? Oh oui, plusieurs, même. Les gens m’appellent l’abruti local, mais on continue à m’appeler Trinita. Ou encore j’en ai entendu des gens qui m’appellent l’idole des jeunes.

Avez-vous un âge réel? Et ça fait quoi si je réponds non ?

De quoi avez-vous rêvé la nuit dernière? Que je me faisais tabasser par quelqu’un. Ce qui est étrange, c’est que je ne ripostais pas, hum…

Avez-vous réellement conscience de ce que vous avez conscience d'être? F*ck la philo, allez dire ça à quelqu’un pour qui la notion du moi et du surmoi veut dire quelque chose parce que pour moi le surmoi c’est juste un gars qui s’est mit au dessus de moi.
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MessageSujet: Re: Wouf! Wouf! Icon_minitimeVen 15 Avr - 12:00

Bienvenue !

J'adore ta présentation, surtout ton histoire ! J'aime bien ton personnage. En plus tu es agréable à lire. 'Fin bref, *hate de rp >w<*
D'un oeil critique j'vois pas de fautes ni rien *bigleuses*, tu devrais ne pas tarder à être validé.

Encore une fois, Welcome inconnu qui vient de l'inconnu ... *out*
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MessageSujet: Re: Wouf! Wouf! Icon_minitimeVen 15 Avr - 12:09

Merci, ça fait plaisir.8D

Je me demandais simplement si son Revolver pouvait passer facilement, le contexte étant vraisemblablement médiéval, mais bon... C'est pas super bien expliqué non plus, hein.è__è'

Moi z'aussi, hâte de RP. J'ai remarqué en jetant un oeil sur les dates que ça fait dix jours qu'il y'a pas vraiment d'activité de c'coté là... J'espère que ça va reprendre!>o<

Quand à l'inconnu qui vient de l'inconnu... Ah, je suis vexé, mais bon, bref.XD
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MessageSujet: Re: Wouf! Wouf! Icon_minitimeVen 15 Avr - 13:21

Pour le revolver, tant qu'il n'y en a pas d'invasion ni une utilisation abusive je vois pas le soucis ...
Sachant qu'un revolver de l'époque du 19ième siècle n'était pas spécialement précis, même en visant bien de 10 mètres la balle n'allait pas forcément à sa cible. =P Par contre, le bolverk je ne sais pas si c'est un nom inventé ou non, mais du moment qu'il n'est pas dans la puissance d'un magnum, long rifle, ou autre arme d'aujourd'hui perfectionnée ... Pas de problème de mon côté ! Après faut voir avec la toute puissante.

Sinon pour l'activité ... Bah ça fait personnellement 10 jours que j'attends une réponse !

Puis mônsieur l'inconnu, ça va, je crois avoir deviné ! Mais cessons de flooder sinon on va devenir de la chair pour le barbecue de ce soir du Dragon ... u_u'
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MessageSujet: Re: Wouf! Wouf! Icon_minitimeVen 15 Avr - 13:53

ooo'wkay. Je cesse de flooder, mais je me sens tout de même obligé de répondre à la question concernant le revolver, au cas où l'admin Dragon-Barbecue ailé passerait par là et se poserait justement le même problème.XD

Donc, Bolverk n'a absolument rien d'une arme des temps modernes, si je puis parler ainsi. Il s'agit bien d'un Pistolet tout simple, une sorte de prototype du Colt avant l'heure, mais datant d'une époque similaire au dix neuvième siècle, effectivement.-__ù

Il est tout de même un peu plus fort qu'un pistolet 'classique' puisqu'il peut se lier à la force de Cerbère, donc tirer des balles... Mordantes, je dirais. Mais mis à part ça, c'est un pistolet tout simple, d'une époque à la limite du Post-médiéval.

Pour être tout à fait honnête, la seule référence dont je dispose c'est le jeu Fable 2, où on voit pas mal de pistolets d'une puissance à celle que j'imagine pour Bolverk, sans pour autant que le contexte sorte du médiéval. En fait, il est même carrément médiéval, si j'ose dire.XDDD

Donc, voilà pour le flingue, il n'a aucunement la puissance d'un Magnum 45, d'un quelconque Beretta automatique ou d'un Fusil d'assaut, ou ce genre de chose. C'est une arme avancée pour l'époque, mais qui reste archaïque pour notre époque actuelle.^^'
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MessageSujet: Re: Wouf! Wouf! Icon_minitimeSam 16 Avr - 20:44

t'es grillé luc cherche pas (ton écriture et ton roman se voit à 4 kilomètres)
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MessageSujet: Re: Wouf! Wouf! Icon_minitimeSam 16 Avr - 20:49

Ta présentation est trop longue, raccourci-la un peu ><

Toujours les mêmes qu'on retrouve à ce que je vois ! xD

Bon bah, je valide et lirai cette présentation quand j'aurai une heure ou deux devant moi ><

RERERERERErerererere...bienvenue u_u
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MessageSujet: Re: Wouf! Wouf! Icon_minitimeSam 16 Avr - 20:59

bienvenue en tout cas =)
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MessageSujet: Re: Wouf! Wouf! Icon_minitimeSam 16 Avr - 21:22

... j'ai le droit de dire merci, ou c'est considéré comme du flood?XDD

Et je cherche pas à me cacher. Si j'avais voulut me planquer j'aurais au moins fais l'effort de changer ma date de naissance... Et j'aurais pas mis mon annagramme pour le prénom de mon perso...8D

Enfin bref. Mierchi du bienvenue. Je commencais à dépérir....v____v

PS: OMG! Le Phénix qui me dis que je suis grillé! ROLOLOLOLOLOLOL!XDDDDDDDDD
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MessageSujet: Re: Wouf! Wouf! Icon_minitimeDim 17 Avr - 11:12

Bienvenue.
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MessageSujet: Re: Wouf! Wouf! Icon_minitime

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